Cruchot & Co

On attend tous cette émission avec impatience !!!

Merci de l'info !

Franck

www.leblogtvnews.com

Il y aura notamment une émission spéciale Louis de Funès.

Un divertissement présenté ainsi par la chaîne :

"Vingt-cinq ans après sa mort, Louis de Funès demeure le comique préféré des Français.
Incroyable boule d’énergie, pile électrique montée sur ressorts, cet acteur inimitable et indémodable, à mi-chemin entre Charlie Chaplin et Donald Duck, réconcilie parents et enfants à chaque rediffusion.
Comment l’influence de Louis de Funès se perpétue-t-elle en 2007 ? Qui sont aujourd’hui ses fils spirituels, ses fans, ses successeurs ?
Patrice Leconte, Isabelle Nanty, Patrick Timsit, Julie Ferrier, Antoine de Caunes, Clovis Cornillac, Denis Podalydes, Vladimir Cosma, Kad Merad, Arthur, Pauline Esther, Didier Benureau, Richard Berry, Pascal Elbé… répondent.
Cette émission événementielle permet de retrouver Louis de Funès dans ses postures inimitables : mimiques et grimaces, colères et paniques, cascades, déguisements et chorégraphies improbables. "

Merci bien

Voici ce qu'en dit le site www.coulisses-tv.fr

France 3 prépare une soirée spéciale consacrée à Louis de Funès

Incroyable boule d’énergie, pile électrique montée sur ressorts, inimitable et indémodable, à mi-chemin entre Charlie Chaplin et Donald Duck, Louis de Funès n’en finit pas de faire rire... France 3 consacrera très prochainement une soirée spéciale à Louis de Funès dans une émission intitulée « On a tous grandi avec Louis de Funès ».

Comédien le plus rentable de l’histoire du cinéma hexagonal, acteur inimitable il demeure aujourd’hui encore le comique préféré des Français et réunit parents, enfants et petits-enfants 25 ans après sa disparition…

De « Pouic Pouic » à « La soupe aux choux », du « Gendarme » à « Fantômas », du « Grand Restaurant » à « Hibernatus », du « Corniaud » à « Rabbi Jacob » en passant par « La grande vadrouille » ou « La folie des grandeurs »… On a tous grandi avec Louis de Funès.

Le meilleur de ses films réuni le temps d’une soirée et de nombreux témoignages de comédiens, metteurs en scène et artistes en tout genre… Fans, fils spirituels ou successeurs, ils l’ont accompagné, ont grandi avec lui et puisent parfois aujourd’hui chez lui leur inspiration…

Didier Benureau, Richard Berry, Clovis Cornillac, Vladimir Cosma, Antoine de Caunes, Arthur, François-Xavier Demaison, Pascal Elbe, Pauline Ester, Julie Ferrier, Patrice Leconte, Pascal Legitimus, Kad Merad, Isabelle Nanty, Manu Payet, Dominique Pinon, Denis Podalydes, Smaïn nous raconteront pourquoi Louis de Funès a marqué leur vie. Ils nous livreront leurs répliques préférées, leurs moments cultes et tout ce qui fait qu’il est une légende à leurs yeux. Une soirée exceptionnelle qui permettra de voir, revoir…

Des dialogues cultes parfois absurdes et décalés : « Salomon vous êtes Juif ? » (Les aventures de Rabbi Jacob), « la fille du guignol ! » (La Grande Vadrouille), « elle s’appelle Edmée !!! » (Hibernatus) ou l’inénarrable « si on peut plus péter sous les étoiles sans amener un Martien, il va nous en arriver des pleines brouettes ! » (La Soupe aux Choux)…

Des grimaces inoubliables : face à deux motards (Les aventures de Rabbi Jacob), à Yves Montand qui lui nettoie ses oreilles (La Folie des Grandeurs) ou dans le final d’Oscar…

Des crises de folie : les hurlements de l’inspecteur Juve (Fantomas), de l’industriel Fourchaume (Le Petit Baigneur) ou d’Hubert de Tartas (Hibernatus)...

Des duos mythiques : avec Bourvil (Le Corniaud, La Grande Vadrouille), Jean Carmet (La Soupe aux Choux), Annie Girardot (La Zizanie), Coluche (L’Aile ou la Cuisse), Yves Montand (La Folie des Grandeurs), Bernard Blier (Le Grand Restaurant, Jo), Jean Marais (la trilogie Fantomas), Michel Galabru (L’Avare, le Petit Baigneur, la « saga » des Gendarmes) et bien-sûr Claude Gensac, qui incarna sept fois son épouse à l’écran.

Des scènes de danse incroyables : celle de Rabbi Jacob et des chorégraphies improbables (Le Grand Restaurant, L’Homme-Orchestre ou Le Corniaud)…

Des déguisements étonnants : vieille cliente de restaurant (L’Aile ou la Cuisse), pirate (Fantomas se déchaîne), nonne (Le Gendarme et les extraterrestres), aristocrate efféminé (Le Grand Restaurant) et bien sûr rabbin (Les aventures de Rabbi Jacob)…

Des cascades spectaculaires : accidents de voiture excessifs (Le Corniaud, Fantomas, Le Grand Restaurant), haute voltige vertigineuse (Le Petit Baigneur, La Folie des Grandeurs) ou chute à répétition dans une cuve à chewing-gum (Rabbi Jacob)…

Publié le 19 novembre 2007 à 20:52

Bonne nouvelle, espérons que les invités n'en profiteront pas trop pour faire leur promo.

[Mode éternel insatisfait ON ] J'aurais tout de même aimé voir des partenaires de De Funès à l'écran comme Claude Gensac ou Michel Galabru. [Mode éternel insatisfait OFF]

Apparemment, ce serait le 10 décembre

A l'occasion de la diffusion de cette émission, Michel Galabru a donné une interview à Télé 7 jours dans laquelle il parle longuement de Louis de Funès.

On a tous grandi avec Louis De Funes : De Funes express

imédias.biz, par Mathias Chaillot
10 décembre 2007

Ses films passent en boucle en période de fêtes et ses répliques ressortent régulièrement au cours des dîners. Louis De Funes, disparu le 27 janvier 1983, reste dans les mémoires comme l’un des grands acteurs de comédie française. France 3 lui consacre une soirée, lundi 10 décembre à 20h50. L’occasion de revoir ses meilleurs moments, entourés de témoignages, sans pour autant revenir sur ce qui a fait le personnage.

C’était une forte tête, renvoyé de tous ses boulots, et même de Louis Lumière après y avoir mis le feu. Un sale gamin qui voulait se faire remarquer. C’est gagné. Cent quarante films au compteur, le compagnon de Bourvil et de Fernandel est entré dans l’histoire, grâce à une poignée de films restés dans toutes les mémoires. Le premier, ce fut Le Gendarme à Saint Tropez, avec lequel le tout petit bonhomme gravit la montagne du box-office et arrive au sommet. Deux mois plus tard, le célèbre Fantomas lui amène un nouveau succès. Le personnage du coléreux hyperactif et grimaçant est né, et tous ses futurs rôles seront créés sur mesure.

En 1967, il partage l’affiche de La Grande Vadrouille de Gérard Oury avec Bourvil. Le grand un peu simplet et le petit aigri. Le succès sera tellement immense que le film restera pendant de nombreuses années comme le record du plus grand nombre de spectateurs (17 millions), avant d’être détrôné en 1998 par Titanic. Aucun film français ne l’a jamais doublé.

Puis c’est un retour sur les planches, là où il a commencé, à jouer la pièce Oscar. Quelques mois pour tourner un film qu’on oserait plus faire aujourd’hui, Les Aventures de Rabbi Jacob de Géard Oury, et de nouveau sur les planches.

1975, l’hyperactif doit se calmer. Deux infarctus consécutifs le poussent à abandonner le théâtre et à ralentir le cinéma. Les rôles taillés sur mesure ne lui vont plus. Ils sont trop grands, trop grands pour ce petit homme soudain diminué. Celui qui a fait tant gagner au box-office risque de ruiner les compagnies d’assurance, qui ne veulent plus le suivre. On lui laisse une petite chance en 1976, pour jouer aux côtés de Coluche. L'Aile ou la cuisse, 6 millions d’entrées. En 1980, lisant un étrange bouquin où des paysans, faisant un concours de pets, rencontrent des extra-terrestres, il pense à faire un film qu’il tournera avec un autre futur grand de la comédie : Jacques Villeret. La Soupe aux choux bercera des générations. Il mourra peu de temps après, d’un nouvel infarctus. Papy fait de la résistance lui sera dédié, à lui, le petit hargneux qui aurait dû jouer dedans.

Cette histoire, le documentaire de Gilles Penso la survole plus qu’il ne la raconte. Par thématiques (les grimaces, les duos, les danses, etc.), il enchaîne les extraits et les commentaires de ceux qui se disent influencés par lui (Arthur, Kad Merad ou Patrick Timsit), sans temps mort. On aimerait pourtant en savoir plus sur le personnage (et les images d’archive, de lui ou de ceux qui ont travaillé avec lui, manquent cruellement), plutôt que ce qu’en pensent les stars. Surtout, on aimerait prendre le temps de savourer les scènes cultes au lieu de les voir hachées en petits morceaux de quelques secondes, entrecoupées de remarques dont on se passerait parfois. On en voit plus, mais on le voit moins bien. On a tous grandi avec Louis De Funes reste un bon moment de détente, un moyen de revisiter à vitesse express le monde de l’artiste. Pas de mieux le connaître.

* « On a tous grandi avec Louis De Funes », lundi 10 décembre à 20h50 sur France 3

Il a l'air tres interressant ce reportage ...